« Des peluches d'exception avec un supplément d'âme et de douceur », c'est ainsi que la marque Histoires de bêtes présente ses créations sur son site internet. Et effectivement, ces peluches ou petits porte-clefs ont une particularité, comme l'explique Konbini. Contrairement à la plupart des peluches, ces oursons sont recouverts de fourrure de lapin ou de vison, et leurs yeux et leur nez sont en agneau ou en cuir de crocodile. Un « supplément d'âme » qui a un prix puisqu'il faut compter 1 800 euros pour l'une de ses peluches fabriquées à la main en France et entre 180 et 850 euros pour un porte-clef à accrocher à son sac.
Mais ces peluches ne sont pas du goût de tout le monde. C'est LCI qui raconte que l'histoire a fait réagir Valérie Ducrocq Coupé, une éducatrice canine : « On n'utilise pas un animal pour son plaisir. Il existe déjà plein de matières, qui ne sont pas basées sur l'exploitation animale. [...] L'utilisation inutile d'un animal pour fabriquer un gadget, ça me dépasse. » Elle a donc lancé une pétition qui a déjà recueilli plus de 22 000 signatures en quatre jours.
« Matières naturelles »
Sur son site, Histoires de bêtes raconte qu'elle confectionne des peluches depuis 1980 et explique qu'elle achète « les cuirs, laines et fourrures à des entreprises françaises. [...] Notre principal éleveur a une ferme dans le sud-ouest de la France et fait ce...

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